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  • Collectif des Organisations Démocratiques et Patriotiques des Camerounais de la Diaspora. Ce blog est un espace d'échanges et d'informations citoyennes en faveur de la mise sur pied d'un Etat de droit au Cameroun
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21 décembre 2009

Le Code au chevet des camerounais abandonnés dans le désert marocain

Good_News_Bonnes_Nouvelles_Le Code enverra à la fin de cette année une délégation dans le désert marocain pour s'enquérir de la situation des immigrés camerounais abandonnés par le régime de Paul Biya. Cette décision comme vous le savez déjà avait été prise en assemblée Générale spéciale de l’ensemble des membres du CODE  qui s'était  tenue dans une retraite à Colmar (Alsace, France) les samedi 28 et dimanche 29 juin 2008. 

Des centaines de Camerounais sont abandonnés dans le désert du Sahara depuis des années, et plusieurs autres groupes arrivent tous les jours. Ces jeunes sont des rescapés du régime Biya, qui fuient la misère ambiante au Cameroun, et qui préfèrent mourir dans le désert que de mourir au Cameroun. Beaucoup d’entre eux meurent, faute de soin ou même d’alimentation.

Le code ne cessera de dénoncer l’irresponsabilité du gouvernement camerounais qui n’est pas capable d’aller au secours des citoyens camerounais en situation de crise grave

A l'issue de ce séjour au désert avec les immigrés camerounais et africains, le Code doit accélérer ses démarches avec les organisations humanitaires en vue de venir en aide à  ces compatriotes en détresse. Nous y reviendrons

Toute l'équipe de la cellule de communication du Code vous souhaitent par anticipation les joyeuses fêtes de noël et de nouvel an

La cellule de Communication
Contact : comitedecoordinationcode@yahoo.fr
www.lecode.canalblog.com

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Commentaires
A
svp tâchez de publier cette note pour éclairer la lanterne des camerounais en butte au conditionnement oppressif d'un régime policiern brutal.
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A
La récente actualité camerounaise relative à la pétition surles massacres des émeutes de février 2008 à L'ONU,est au coeur même des préoccupations des thuriféraires du régime de yaoundé,soucieux de noyer le poisson.Il faut surtout relever pour le souligner, que cette initiative va remettre en causes bien des options succidaires entreprises par le dictateur d'Etoudi.<br /> le saviez vous,le Bataillon D'Intervention Rapide(BIR)Crée à l'origine pour endiguer le phénomène de coupeurs de route dans le grand NordetL'Est du pays s'est ensuite déployé dans le Sud ouest( Bakassi, Limbé) où les irrédentistes de tout acabit avait installé la psychose d'une insécurité ambiante. Pourtant, la mission dévolue à ce corps d'élite entrainé principalement par un personnel israélien,est en passe de prendre un versant plus politique.<br /> En effet, le régime Biya, conscient de son impopularité et du caractère équivoque des futures élections présidentielles de 2011, a entrepris depuis deux ans de procéder à un recrutement massif dans cette unité. Ceci dans le dessein évident de quadriller tout le territoire national afin de mater toute contestation postélectorale.D'après des sources bien introduite dans le sérail, le BIR sera le nouveau fer de lance tenant lieu de rempart pour les jours périlleux du pouvoir de yaoundé.Tout y contribue:l'extrême jeunesse de ses éléments,leur niveau intellectuel approximatif dépourvu de sens critique,la ténacité dans l'aprêté du combat,en font de redoutables soldats que l'on cpmte dorénavant opposer au peuple camerounais. En attendant, ils ont tous les privilèges que confère une impunité de fait.Bras séculier du régime, leur dissémination dans les zones ciblées comme foyers de l'opposition électorale est en cours de réalisation. <br /> De ce déploiement discret ça et là à travers la République, il se prépare une action de terreur psychologique visant à dissuader toute velléité de contestation électorale ou sociale futures.Rendez vous compte,les exactions du BIR ressemblent à s'y méprendre aux soirées de veillées d'arme qui précèdent les grandes batailles: la semaine dernière à Limbe,la ville était quasiment en émeute du fait de manoeuvres de provocation de ces soldats en tenu.Là ils ont battu,sequestré,violenté,torturé sans que nulle autorité ne levât le moindre doigt.Pour ceus qui en douteraient de la véracité de ces affirmations, ils peuvent toujours en référer aux centres hospitaliers de la ville.<br /> Ailleurs, ce fut à Kumba des mois au paravant.Les éléments du BIR y ont passé à tabac une bonne frange de la population.Aucune réaction des autorités comme toujours.Une autre fois c'était à Santchou,les éléments du BIR ont passé un gendarme à leurs muscles exercés,du seul fait que ce dernier aurait proféré à ces derniers, des conseils de politesse vis à vis des usagers de la route qu'ils tenaient au mépris.La semaine du 22 février 2010, à Bafang, le BIR a fait irruption dans certain point chaud de ville,les citoyens ont été molestés et sérieusement battus, les femmes forcées à se déshabiller et à rouler sur la chaussée.Ensuite les objets de valeur ont été cofisqués(portables, bijoux et même de l'argent).A douala, en 2009, le Bir a provoqué une panique générarale au Quartier Nkomondo en passant tout le quartier à l'exercice de leurs muscles.Les cases détruites,boutiques éventrées, des hommes femmes et enfants torturés,des objets de valeur saisis et emportés, des dizaines de véhicules de particuliers vandalisés.Là encore pas de réaction des autorités encore moins d'une quelconque formation politique de l'opposition. Toujours à Douala en 2009,Un élément du BIR à poignardé et tué un jeune de l'autodéfense au Carrefour Elf,sans en être le moins inquiété.Ce tueur coule d'ailleurs des jours heureux dans l'une des bases disséminées maintenant dans le territoire national.<br /> Il nous souvient qu'en février 2008, cette unité d'élite était à l'avant garde de la lutte répréssive et sanglante contre les émeutiers.A Bafang, Loum, Mbanga,Penja,Melong, Douala,le BIR était aux premiers loges.il a réprimé à balles réels, tué, torturé, comme quoi "allez dire" et advienne que pourra.<br /> Aujourdhui, le Régime de Yaoundé tend à lui conférer un rôle police politique aux ordres.On tend à leur trouver des bases permanents dans les fiefs de l'opposition au cas où... A Nkongsamba ils s'y sont établis, bientôt suivra Bafang, Mbouda, et toutes les localités du pays qui disent non à Biya.Là ils sont à la recherche d'un nouveau type de coupeur de route, les opposants politiques et les foyers de contestations éventuelles.La mission est de tuer les poussins dans l'oeuf.<br /> A L'analyse, cette énumération fastidieuse est loin d'être exhaustive.C'est la démystification d'un régime aux abois ,qui peu assuré des voies électorales et démocratiques se militarise.Et à l'instar des "SS tête de mort" de Hitler, de la "Securitate" de Nicolae Saucescu de Roumanie, Le Bir se mue progressivement en force de répression voulue,entetenue et savamment orchestrée pour la survie d'un pouvoir illégitime.<br /> Notre souci primordial ici,est de montrer à la face du monde, le dédain pour la vie humaine est devenu un fait avéré.Et dorénavant, tous les commandant de cette unité devront prendre garde d'envoyer leurs hommes mater et tuer du civile. Car l'action pénale du droit international les pousuivra partout où il se cacheraient.Les temps ont changé,les commandants des troupes d'élite doivent intégrer cette nouvelle donne.Il est bien loin le temps où le régime du Rénouveau pouvait se targuer de massacrer en vase clos.les camerounais sont maintenant sur le sentier de la vigilence.Le sort des généraux serbes de Yougoslavie sont encore dans les mémoires.<br /> Ainsi donc, le Bir devra t il se consacrer à sa mission première, qui est la sauvergarde de l'intégité nationale.Le Bir doit se désintéresser des joutes politiques et des révendications légitimes qui en découlent(manifestations, barricades...).Jamais une armée qui se respecte ne doit se faire l'allié damné d'un régime qui envoie tirer sur ses propres enfants.<br /> A l'heure où la pétition de valeureux camerounais à l'onu tâche d'éclairer l'ampleur des massacres de février 2008 afin den dégager les responsabilités pénales, le BIR ne doit pas en rajouter dans l'addition de la consternation.Pour ainsi dire, rien ne sera plus comme avant.Un seul citoyen camerounais désormais abattu par le Bir sera le prélude à un soulevement aux bouleversements indicibles. Aux Messieurs les commadants de cette soldatesque, nous disons simplement retenue et lucidité sinon...
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